l’infidélité des femmes serait en hausse, selon un sondage de l’Ifop (janvier 2017) : 33 % des femmes en couple admettent avoir été infidèles en 2016 contre 24 % en 2001 et 10 % en 1970. Un chiffre qui progresse, mais qui reste inférieur à celui des hommes : 49 % en 2016.
L’association Le droit de guérir reproche à l’Établissement du sang (EFS) de ne pas interroger les donneurs sur une éventuelle piqûre de tique, et de ne pas pratiquer de test sur le sang collecté afin de détecter les bactéries responsables de la maladie.
La réponse du Dr Sylvie Gross, directrice médicale de l’EFS : « Aucun cas de borréliose de Lyme n’a été, à ce jour, lié à une transfusion sanguine, et aucun pays ne teste le sang collecté. Lors de l’interrogatoire qui précède le don, les questions ne portent pas spécifiquement sur cette maladie ou l’érythème qu’elle provoque, elles sont plus générales. Il est obligatoire de demander au donneur s’il a remarqué un événement particulier les deux semaines précédentes : fièvre, toux, plaie cutanée… »
La réponse de Muriel Vayssier-Taussat, directrice de recherche à l’Inra, spécialistes des microbes transmis par les tiques à l’École nationale vétérinaire d’Alfort : « Les Borrelia, agents de la maladie de Lyme, sont présentes de façon très fugace dans le sang. Nous ne sommes jamais parvenus à les détecter dans le sang de malades, même en utilisant des tests spécifiques qui ciblent leur ADN. Ces derniers nous ont aussi permis de trancher : les bâtonnets observés au microscope dans une goutte de sang ne sont pas des bactéries. Une contamination par transfusion me paraît très peu probable. Le risque est très faible, voire quasi nul. »
Tags :

Médecin Genève
1-2 rue Firmin Massot 1206 Genève
Téléphone : 022 347 29 30